Les oiseaux volaient bas en cette belle journée trop chaude. L’hôpital dont sortait Jun était un véritable sonna, quasiment seul dans son bâtiment, il n'y avait pas de réel raison d'y mettre une climatisation, et donc, il y faisait tellement chaud. Mais cela ne me de dérangeais pas. J'étais bien trop peu vêtu pour sentir que le chaud était insistant. Non, je ne pouvais me déshabiller plus pour lui. Quoi que ?


Mes pieds m’extraient de la porte principal, là ou ma mère reposait avec ses semblables. plus fou les un que les autres. Mais parmi eux, j'étais sans doute la pire. Et bien qu'un soupire nostalgique passa ma bouche alors que je regardais le ciel, aucune animosité ne se lisait dans mon regard doré et violine. Juste une souplesse d'esprit, une espèce de bien être malade, comme si l'on savait sa fin si proche qu'elle nous paraissait si belle. D'un pas non hésitant, je me dirigea vers l'endroit ou je devais aller a cette heure ci. Les portes du villages. Une grande faille creusé par le temps dans une roche si dure. La muraille naturelle du pays du sable.

- " Itoshii Hito ♫ "

Ah oui, si bon mon amour, je vois s'offrir a moi un déluge de sentiment. J'allais partir en mission avec lui allais je le tuer en route ? Allais je le laisser mourir dans un déluge de chaleur, de flamme, ou d'eau ? Pourrais je voir la vie quitter ses yeux ?
Ah oui, une douce pensé qui me mettait dans une bonne humeur.
Mais se que je savais aussi a se moment là, c'est qu'il n'y aurai que moi qui gouterais a son sang
que je tuerais, purement et simplement tout être osant porter ses doigts et sa haine contre lui. Ah oui. Je les tuerais, tous!

- " ♪ Nakanaide! "

Même ma voix s'envola a cette pensé, tranchant l'air de sa finesse, j'approchais de mon but. J'étais a une dizaine de mettre, et mon ouie entendit les cris de la blondinette en face de Gaara-sama. Je la voyais me pointé du doigts, je la voyais m’insultai ou presque. Je sentais sa colère, je sentais s haine. Je sentais qu'elle ne m'aimais pas et qu'elle n'avait aucune confiance. Et sans doute avait elle raison.

Mes dernières mètres furent franchi avec la fin de mon chant

- " Warettemisette ♫ "

J'approchais de la blonde. Mon pas s’arrêta, et je laissa mes main dans mon dos caressait cette longue liane de cuire qui s'entourait autours de mes bras et de ma gorge. J'observai les deux personne qui me regardait. La sœur de Gaara-sama, une femme que je n'avais encore jamais rencontré, Temari. Et son frère, Kankuro, maitre marionnettiste.

- " Kazekage-sama ma choisie parce que je peux faire se que vous vous ne ferrez jamais. Je peux l'achever si il le désir, je peux l'aimais si il le veux. "

Sur se mot, ma tête s'inclina en signe de respect. Je savais que le Kazekage m'avait entendu, et je m'approcha de lui, m'inclina, avec plus de soumission, devant lui puis me redressant et levant mes doigts fin vers son visage, ne le touchant pas ne le frollant pas.

" Excusez mon retard, Kazekage-sama."

Un sourire sur mon visage d'ange. Un griffure formant un sourire. Ah oui, que j'aimais être ainsi, que j'allais aimé cette mission!

[ Mission Rang S ]
- Escorter le Kazekage à Konoha -

La faille du village. Porte naturelle et lieu fort de Suna, il était le seul point d’accès et surtout l’endroit le mieux gardé du pays avec un grand nombre de Shinobi pour la protection de la population. Aujourd’hui, il y avait foule à ce même endroit, de nombreux Shinobi étaient présents et pourtant… et pourtant ils n’allaient être qu’une petite poignée à partir, mais il s’agit avant tout du Kazekage, qui depuis qu’il avait atteint ce post allait quitter le village. Accompagné de sa sœur et de son frère ainsi que de son ombre, ils allaient se diriger vers Konoha ou il allait rencontrer la nouvelle Hokage en place depuis que Tsunade ne l’était plus. Il devait donc se déplacer de lui-même pour voir ce que le nouveau dirigeant prévoyait pour les relations entre les deux villages. Actuellement, tout allait bien, de grands projets naissaient entre les deux nations, mais l’arrivée d’un nouvel Hokage pouvait radicalement changer la donne. Finalement, ce fut Temari qui vue Jun arriver et ne tarda pas à lui exposer son point de vue qui pouvait être véridique, mais qui était tellement faux. Il laissa Jun parler à sa sœur, lui expliquant en quelques mots qu’elle était totalement soumise à la volonté de Gaara et qu’elle pouvait tout faire pour lui. Ce ne fut pas vraiment au goût de sa sœur, mais il préféra ne rien dire, laissant son ombre s’excuser de son retard.

❏ Ce n’est pas grave, nous pouvons à présent partir. Baki-Sensei, je vous confie le village.

Il s’était retourné vers son ancien Sensei, qui l’était toujours pour lui. Malgré sa puissance dévastatrice et sa capacité destructrice lorsqu’il était jeune, il était toujours resté présent pour le surveiller et limiter la casse. Il s’inclina devant cet homme qui forcait le respect et se mit en route. Il y avait quelques épiques des forces spéciales devant lui, camouflées dans le sable, présents pour la protection de leur Kazekage. Ils surveillaient les alentours et allaient prévenir Konoha de l’arrivée de ce dernier pour qu’ils puissent eux même se préparer pour leurs effectifs. Deux Kage qui se rencontrent… Ce n’est pas banale, mais Gaara avait personnellement besoin de connaître le nouveau dirigeant du village pour être sur de la suite des événements. Marchant dans le sable, ses compagnons non loin de lui, il préféra mettre les choses au clair maintenant qu’ils n’étaient que tous les quatre.

❏ Temari, Kankuro, une fois arrivée à Konoha, j’aimerais que vous alliez prendre contact avec Shikamaru afin de savoir si les examens de Genin auront toujours lieux. Profitez en pour en apprendre plus sur la disparition de Tsunade, cela… m’inquiète. Pendant ce temps, j’irais à la rencontre du nouvel Hokage avec Jun.

Déjà il voyait le regard suspicieux de son grand frère dans son dos et sa sœur commença à prétexter qu’elle ne voulait pas le laisser seul avec cette femme dont elle n’avait pas confiance. Ce n’était qu’une droguée et une folle qui n’avait sa place que dans la prison ou elle avait été enfermée pendant de nombreuses années. Oui, Temari n’avait pas sa langue dans sa poche et elle était toujours franche avec Gaara. Ce dernier s’arrêta sur place, oui, il fallait mettre les choses au clair avec son frère et sa sœur pour qu’ils arrêtent de traiter ainsi sa subordonnée. S’arrêtant, il s’approcha de Jun tout en lui tournant autour, sa chapeau de Kazekage attaché à sa lanière de cuire soutenant sa jarre.

❏ Ecoutez moi, je sais que vous vous faites du soucis pour ma sécurité, mais Jun restera à sa place et ne fera que surveiller. Faites moi confiance, ayez foi en moi et en mes jugements. Jun fera tout ce que je lui dirais… N’est-ce pas ?

Un regard vers sa subordonnée et ils pouvaient ensuite reprendre le chemin vers la frontière, puis vers Konoha ou ils seraient escortés par des Shinobi du village de la feuille