- « Inuzuka-san. Je crois que vous n’étiez pas a la dernière réunions. J'aurai quelque mot a vous dire.

Ne se formalisant, n'y ne se démontant des manières de la Chienne, Etsuko se tourna vers la femme qui partant. Ne la retenant que de ses mots balancés dans les airs. Il fit un pas vers elle, s’arrêtant ensuite avec élégance et prestance. Il ne savait pas qui elle était. Il n'avait fait que la croisé a quelque reprise, et sans doute la femme était bien trop fiers pour remarqué se qui l'entourait.

- Les choses vont changer à Konoha. Et votre aide serait potentiellement précieuse. Souffla le Kage, Si vous ne voulez pas m'aider, vous serez destitué de votre rang de Kinoishi et vos droits en temps que tel vous seront retiré par la même occasion.

Aucun sourire sur mes lèvres masqué, aucune fausse bonté, juste une grande froideur, mais aucune note de colère. Une vérité froide et stable qui serait ainsi pour tout les shinobis de Konoha. Chacun me devait des comptes a présents et tous avait a me rencontré pour revoir leurs avenirs. Je continuai, dans un autre ton plus polie cette fois.

- La tours vous est ouverte. »

J'observai sa nuque quelque instante, avec la froideur et l'instance que j'avais toujours. Elle et son chien ne me faisait pas peur, je ne les craignais nullement et son clan de Chien me déplaisait de par leurs manières abrupte et violente. Aucune finesse, même dans leurs mots.
Et Aya Inuzuka en était un bon exemple de ce chaos interne. Et je n'aimais pas ça du tout. Un chien se devait d'être dresser, et les précédent Kage avaient été bien trop laxiste avec eux. Et ils sont à présent se qu’ils sont devenue. Des bêtes cloîtrer dans leurs mondes et dans leurs règles idiotes et bestiales pour l’extérieur. Et je n’aimais pas du tout cet enfermement. Je voulais les maitrisé, c’était le seul moyen d’avoir se que je désirais, si je n’avais pas accé et contrôle, qui sais se qui pouvait advenir des gens.
Un peu comme ses Uchiha. Et j’allais devoir faire quelque recherche a leurs sujets, maintenant que j’en avais le pouvoir.

Le regard du Kage ne changea pas un instant lorsque la femme parla. Il l'observa. Sans rien dire, la laissant faire, croire en ses douces illusions.

- « C'est bon ? Vous avez finit ? Maintenant écoutait moi.

Il fit un pas de plus, ne la défia n'y ne la jugeant de son beau regard rosé.

- Je ne joue pas avec les gamines.

Déclara le jeune homme, comme un coup de tonnerre, laissant sa froideur s’immiscer dans ses mots. Mais, il n'était pourtant pas en colère, il s'attendait a se genre de réaction. Il savait pourtant qu'il l'aurait bientôt dans son bureau. Pas avec des manières conventionnelle, et il se doutait aussi qu'il devrait employer des termes et des moyens qu'il n'aimerait pas, mais dont il se devait d’exécuter. Et bien que maint ninja lui avait susurré le charme bestial de cette femme, Etsuko n'était nullement touché par ses yeux d'un vert profond. Pour lui, elle n'était qu'une triste femme qui ferait mieux de rentrer chez elle. Elle lui semblait si faible a cette instant, dans sa cuirasse de mots et de méchanceté. Oui, elle lui faisait pitié, et c'était sans doute la seule chose qui passa dans le regard rosé du jeune homme. De la pitié pour cette femme qui croyait pouvoir l'injurié, peut être voulait elle se faire cogner ? Mais malheureusement pour elle, Etsuko avait bien plus vécu, et son expérience l'avait transformé en quelqu'un qui ne se démonté pas des termes qu'on employait en parlant de lui.
Mais bon, il faudrait aussi que Etsuko soit un peu plus sain dans ses termes, après tout, c'était plus ou moins lui qui avait commencé les hostilités! Bien que cette femme se soit montrée furieusement impolie à son égard. Ah qu'il n'aimait aucunement cela. ce genre d'impolitesse le dégouté profondément. Comme si le monde n'était pas assez dégueulasse pour qu'une si belle Kinoishi en rajoute en profanant l’ouïe de tous d'insulte et de mots crier comme du poison dans l'air.

- A présent, je vous laisse fuir a vos occupations, vu que vous ne semblait nullement capable d’entretenir une conversation polie et utile avec quelqu’un. »

Ne faisant nullement un pas en arrière après ses mots pour partir lui-même dans la direction qu’il avait prise des le départ, il prit pourtant son livres. Achevant cette conversation. Bien qu’il pensait, espérait presque que la Chienne n’en reste pas là.