Presque une journée c’était écoulé depuis que Tiryon s’était enfui de chez lui, l’aventure lui tendait les bras. Il avait suivi un sentier pour sortir du village, puis celui-ci c’était transformer en route, c’était le bon chemin vers la civilisation. Notre ami avait donc suivi la route en regardant les panneaux d’indications qui ne lui étaient pas très utiles, car il ne savait pas lire. La journée c’était passé sans accro, mais à la fin du jour la fatigué et la faim le tenaillait, le petit garnement avec déjà commencer à puiser dans ses réserves de vivres en grignotant en route, hors là c’était un vrai repas dont il avait besoin.

Le futur ninja c’était donc écarter du chemin pour s’arrêter dans une clairière, le trou dans le territoire forestier était assez banal et seule une veille souche d’arbre trônait en sont centre. Le garçon posa son sac sur le reste d’arbre et commença à déballer quelques affaires, sortant un peu de nourriture qu’il avait chipé dans la cuisine de son grand-père. S’asseyant par terre, le voleur profita de son larcin en se délectant la papille, bien son butin n’était que du pain et des fruits après une journée de marche cela valait tout le caviar du monde. Terminant son repas sous un rot bien fort, montrant que l’état de satiété était atteins. Pensant qu’un somme digestif lui ferait du bien, il prépara un lit improvisé avec une couverture qui avait pensé à prendre avec lui et s’installa sur un coin d’herbe qui sembla assez propre. L’enfant s’endormit dès qu’il eu fermé les yeux, dormant d’un sommeil profond, cela était naturel après sa longue marche.

La nuit arriva sur la clairière et les animaux nocturnes sortirent de leurs cachettes, des cris et des bruits étranges venait de toute part, cela aurait pu effrayer Tiryon si celui-ci était réveillé. Mais vu son sommeil lourd, rien n’aurait pu l’enlever des bras de Morphée.

Pendant la nuit plusieurs animaux passèrent près du campement improvisé du fugueur, mais ils ne restèrent pas après avoir flairé l’odeur de l’homme. Tous non, une intrépide créature à la fourrure rousse se rapprocha et alla dans la clairière voyant que le garçon dormait à point fermé. Sous la lumière de la lune, on put voir qu’il s’agissait d’un petit renard sans peur qui était venu pour joué un mauvais tour à notre ami, car l’animal avait tout de senti l’odeur de nourriture qui était présente tout autour. Le canidé traça sur la pointe des pattes jusqu’au sac de Tiryon rester ouvert, puis mangea le reste de pain ainsi que les fruits qui restaient. Pour ensuite s’enfuir une fois son méfait accomplie, il était tout fier de son acte en repartant. Les voyageurs stupides c’était un peu sa proie préférée, le pain était très prisé par ses semblables chapardeurs.

Le réveil fut difficile pour le petit garçon, se réveillant doucement après un bonne nuit de sommeil, mais dormir dans la nature avait ses inconvénients à force de s’être retourné toute la nuit et gratter sa tête à cause des insectes qui voulaient élire domicile dans son cuir chevelu, ses cheveux s’étaient décoiffés tellement que l’on aurait dit un caniche de loin. Essayant de se recoiffer avec ses mains, mais cela n’était pas très convaincant. Puis se disant que se serait bien de commencer la matinée par un petit déjeuner, Tiryon alla cherche dans son sac les restes de la veille. Mais plus rien bien attendu, le jeune garçon lâcha une onomatopée qui voulait tout dire :

Aahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !!!

Le constat l’avait mené au bord de larmes, mais le garnement savait qu’il ne devait pas pleuré. Sachant que craquer ne résoudrait rien, il devait être fort, oui ne pas se laisser abattre. Ce n’était que le début des difficultés pour notre ami et il s’en doutait.