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 «| Shiin' et l'hopital...

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Oi-nin de Konoha
Hayasa no Shiin'

Hayasa no Shiin'

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MessageSujet: «| Shiin' et l'hopital...   «| Shiin' et l'hopital... EmptyLun 28 Mar - 4:28

«| Shiin' et l'hopital... |»

    «| Mes yeux s'ouvrirent, j'avais toujours, j'étais transporter par deux hommes. Deux ninja de Konoha. Ce fut en tremblant que je demanda ou on allait. « A l'hôpital... » J'étais sauvé... Je perdis de nouveau connaissance.
    La seconde fois ou de nouveau je ré-ouvris mes yeux, la douleur était encore présente mais comme étouffer, compresser. Je me sentais dans un état second, comme drogué. Je déteste les hôpitaux... Mon bras était bander, je ne pouvais le bouger et toutes contractures me faisaient souffrir, la douleur eu rapidement raison de mon envie de me mouvoir et je resta immobile. J'avais dormis combien de temps? J'avais perdu beaucoup de sang? Je ne me rappelais de rien hormis du dernier contact avec cette homme. L'homme au masque orange et son compagnon du nom de... Zetsu? Leurs capes? Ce long manteau noir et rouge. Je me rappelais maintenant. l'Akatsuki, le groupe don faisait partie Itachi Uchiha. Les hommes qui après la mort du vieux Sarutobi, était venu a Konoha pour des raisons que j'ignore. Il fallait que je prévienne le Hokage. J'avais obtenu nombres d'informations qui pourrait sans doute nous aider à l'avenir. Il nous fallait percer le mystère de l'Akatsuki. Serais-je capable de me lever? Oui, je me sentais assez bien pour le faire. Pourtant je ne fis rien. L'urgence pourrait attendre encore une heure, j'avais sommeil...

    «| De nouveau je me réveillais, j'étais déjà beaucoup moins engourdi. Plus sur de moi. Je me redressa avec facilité dans mon lit. Je n'étais vêtu que de l'accoutrement donner au blesser. J'étais nue dessous. Je me leva et me changea rapidement avec mes vêtements plier sur une chaise. J'avais constater avec plaisir que ceux-ci avaient laver. Il fallait que je parte, j'étais rester bien trop longtemps ici et cela même si j'ignorais le temps total de ma présence en ce lieux. Un jour? deux peut-être? Une semaine? Qu'importe,une simple heure était déjà trop. Malgré mon gras blesser, me changer fut simple. Je fis rapidement le tour de la pièce. Elle n'avait aucune extravagance, les murs peints de blanc, deux fenêtre presque cote a cote sur un seul et unique mur. Deux portes orange-marron, je n'aurais su le dire ornait l'endroit. L'une menait a la salle de bain la seconde menait surement dans l'un des nombreux couloir de l'hôpital. Je pénétra tout d'abord dans la salle de bain, malgré la forme dans laquelle je me sentais, je voulais sembler au top. Laissant couler l'eau, je m'aspergea à l'aide de mon bras le visage du liquide. L'effet fut rapide et agréable. Comment ne pas apprécier? Je ressortie alors pour me retrouver dans la chambre. Il était temps de partir.

    «| La main sur la poignet, la baissant lentement, j'ouvris la porte. Un premier pas, puis un second, je préférais passé inaperçu, tomber nez a nez avec un médecin aurait ralenti les choses, il aurait fallut que je prouver que j'étais apte a sortir, que je remplisse des formulaires... trop de chose ennuyeuse... Un troisième pas quand je sentis une présence dans mon dos. Je me retourna alors avec vigueur, une telle vigueur que je me fis mal. Merde... Une infirmière... Le point positif c'est qu'elle était véritablement sexy! « Bonjour... Je vous cherchais justement! » Un mensonge évidemment. Mon bras valide derrière la tête, les yeux mi-clos, l'air totalement innocent... Je ne perdais pas une miette de regard de la demoiselle. De long cheveux d'une teinte légèrement plus clair que les miens. D'un teint de peau plus foncer et de deux magnifique yeux vert. La seule chose qui m'aurait fait rester une nuit de plus aurait été de la passé nue dans un lit avec elle. Elle semblait parfaitement bien foutu, des formes, des galbures exquise. « Vous êtes a... croqué. » Dis-je avec un grand sourire presque niait.

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Junnin de Konoha
Aya Inuzuka

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MessageSujet: Re: «| Shiin' et l'hopital...   «| Shiin' et l'hopital... EmptyMar 29 Mar - 2:42


    « - Tu crois que je finirai par devenir aussi familière que toi en ce qui à attrait aux techniques médicales ? »

    Une voix douce. Un regard vert forêt plongé dans les méandres du couloir. Ses pas légers berçaient sa chevelure, et ses vêtements, habituellement bleutés, avaient été troqués pour des vêtements plus conformes à la clientèle de l'hôpital. Aya, plutôt provocante, portait un vêtement sobre, plus passe-partout. Son tatouage était caché sous un amoncellement nuage, et sa chevelure contrastait furieusement avec cet immaculé pur. Des pas. Des longs pas. Des chuchotements. Elle se devait de ne pas déranger les malades et les blessés dormant derrière chaque porte. Un silence pesant, entrecoupé par les pas de la chienne Shirayuki. Mais de plus, par Hana, dont les connaissances médicales se révélaient autant profitables pour soigner des animaux ou des humains accompagnait chacun de ses pas. Ses trois chiens gris la suivaient, menaçants. Le couloir blanc défilait, mortuaire, sombre présage pour chaque être dont le corps était brisé, passant les murs funestes de l'hôpital.

    « - Oui je le pense. Tu te débrouilles pour l'instant. Il te manque qu'à connaître plus en profondeur les techniques et à puiser plus subtilement dans ta réserve de chakra.

    - Avec les techniques que je connais déjà, je ne vais pas aller bien loin... Malgré que je connaisse bien le domaine pour l'instant. J'ai un bon professeur. »


    Leurs pas résonnaient. Leurs souffles s'harmonisaient avec celui des chiens, une cadence que seuls leurs cœurs pouvaient défier. Les bruits de toussotements brisaient quelquefois cette harmonie, mais aucun être ne venait détruire leur promenade. Les deux cousines avaient fini, et il ne restait qu'un seul blessé à s'occuper, Hayasa no Shiin'. Un jeune homme dont les blessures à son bras, lui avaient fait perdre conscience, cela, pendant plusieurs jours. Aya s'était occupée de lui pendant son stage à l'hôpital de la feuille, lorsqu'il était arrivé. Hana qui avait découvert les capacités de Aya, il y a quelques mots, lui avait proposé, pour la familiariser avec l'environnement hospitalier. Elle était devenue en quelque sorte son professeur, et leur complicité avait par le fait même augmenté, tant et si bien qu'elles étaient d'excellentes complices, malgré que leur caractère soit à l'opposé l'une de l'autre. Aya était susceptible, franche, agressive même avec ses proches, et irréfléchie lorsqu'on la provoquait. Hana, quant à elle, restait calme, affectueuse, plus poussée dans sa réflexion. Pourtant, malgré les différences, la première se montrait conciliante, appréciant sa cousine et le lien qui les unissait. Les chiens, les Haimaru Sankyodai de Hana, s'accommodaient bien de la présence de Shirayuki, bien plus grosse et musclée. Ils se chamaillaient occasionnellement pour décider qui serait, entre eux et la chienne blanche maître d'un jouet ou d'une caresse, en premier, se bousculant et se mordant comme des chiots.

    « - Merci, mais tu sais, tu dois apprendre encore les propriétés médicinales de plusieurs plantes. Ensuite, je pourrais t'enseigner des technique Irou plus poussés, reprit Hana, un léger sourire sur les lèvres.

    - Oui, je l'accorde. Avec un peu d'entraînement, je pourrai maîtriser mieux ma gestion de chakra pour parfaire mes techniques. Combien de temps crois-tu que cela va prendre ? , demanda son interlocutrice aux vert forêt.

    - Je dirais 2 voire 3 mois. Tsume appréciera que nous ayons une autre vétérinaire dans la famille. Tu m'as dit que... Attends... tu le vois ? »

    Aya lança un regard suspicieux vers la porte de leur blessé, qui s'était ouverte à quelques mètres de là. Elle eut un petit rire, en voyant le jeune homme, hésitant dans son avancement dans le couloir, ne portant attention nullement aux nouvelles arrivantes.

    Avec un sourire doucereux, elle le regarda attentivement. Elle chuchota pour sa cousine sur un ton moqueur :

    - On a un fugitif. Allons le coincer ! Le petit oiseau ne va pas sortir du nid sans que je lui ai ordonné l'ordre !

    - Tu vas surtout lui arracher des plumes pour l'empêcher de voler...

    - Exactement ! Allons voir ce qu'il mijote... ,
    dit la maîtresse de Shirayuki en s'approchant silencieusement du jeune homme.

    - Allons-y...

    Quelques secondes passèrent. Les femmes avaient instinctivement ralenti leur cadence respiratoire, pendant ce court lap de temps, n'ayant aucune intention de se faire repérer. Même si le blessé n'avait pas des capacités sensorielles comme celles des Inuzuka, l'instinct restait présent en toute situation. Les chiens avaient cessé de bouger, fixant le déroulement des événements, silencieux. Aya se mit derrière son dos regardant le jeune homme dans son périple, avec un sourire taquin, son regard porté sur le côté, ses mains derrière son dos. À quelques décimètres de lui, elle parla, le faisant sursauter.

    - Alors, mon grand, on déroge à la règle ? On ne dit même pas bonjour à la garnison des hôpitaux ? C'est pas très gentil.

    Le jeune homme aux magnifiques yeux bleus se retourna d'un coup. Son visage pendant un bref instant, se crispa sous la douleur. Le sourire de la femme se fit plus grand encore en voyant la souffrance disparaître pour qu'apparaisse un regard naïf et innocent sur le visage de Shiin', comme savourant d'avance sa victoire sur le fugitif.

    « - Bonjour... Je vous cherchais justement ! ,
    dit-il en se grattant la tête et en la dévorant des yeux.

    Son sourire était presque sincère. Presque. Si ce n'est qu'il avait déjà enfilé ses vêtements pour vraisemblablement s'enfuir. Elle savait pertinemment que ce n'était que fausseté.

    - Vous êtes à... croquer.

    - Merci, toi aussi, tu es mignon. Mais ce n'est malheureusement pas avec des compliments que je vais te laisser partir sans m'avoir occupée de toi. De plus, comme tu viens de te réveiller, tu es encore trop faible pour repartir en escapade dans le village, au risque de rouvrir tes blessures, qui sont tout de même sérieuses. Tu vas donc revenir vite dans ta chambre, mon grand. Tout de suite, sans discussion. Sinon, je me fâche. »


    Hana rit silencieusement en voyant le sourire sérieux et à la fois mielleux de sa cousine, sachant pertinemment que celle-ci jouait de son charme avec le jeune homme. Les chiens jusque là calmes et soumis, avaient relevés leur queue dans les airs et chacune bataillait gaiement la poussière ambiante à l'instant même, amusés par la situation.


Dernière édition par Aya Inuzuka le Mer 13 Avr - 23:17, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: «| Shiin' et l'hopital...   «| Shiin' et l'hopital... EmptyMar 29 Mar - 18:10

«| Shiin' et l'hopital... |»

    «| « Merci, toi aussi, tu es mignon. Mais ce n'est malheureusement pas avec des compliments que je vais te laisser partir sans m'avoir occupée de toi. De plus, comme tu viens de te réveiller, tu es encore trop faible pour repartir en escapade dans le village, au risque de rouvrir tes blessures, qui sont tout de même sérieuses. Tu vas donc revenir vite dans ta chambre, mon grand. Tout de suite, sans discussion. Sinon, je me fâche. »

    «| Une dur a cuire? Apparemment, la tache pour me tirer d'ici serait plus complexe que prévue, mais qu'importe le chemin que l'ont prend, seul l'issu que l'on atteint à son importance. L'issu en somme c'était mon départ de cette endroit et pour réussir a sortir, j'étais prêt à y mettre les formes et les manières. Je n'avais pas peur de prendre le taureau par les cornes au risque de me fracturé plus que je ne l'étais. « Écoute moi bien gamine. » Mon ton était neutre, ne dégageant nul violence, juste une fine pointe d'ironie, assez pousser pour qu'elle en pleine plein la figure. « Je pense avoir assez de vécu ne pas avoir besoin qu'une gamine vienne prendre des décisions pour moi. » Je la fixais droit dans les yeux. Elle avait d'ailleurs de magnifique yeux. Surtout lorsqu'elle semblait s'énerver. Son visage doux semblait ce crisper. Beauté sauvage. Je l'imaginais déjà nue sous mon corps. Son visage encore plus crisper, crisper par le plaisir. « Je me suis bien fais comprendre? » Je ponctua cette dernière réplique d'un large sourire. Un sourire franc. Mon plus beau sourire.

    «| Elle semblait du genre à s'emporter, mais bizarrement, elle restait plutôt calme. C'était sans doute à cause de la présence de Hana. Hana que je connaissais un peu pour avoir déjà fait deux missions avec elle par le passé. Alors que je n'étais qu'un simple ninja comme on en rencontre tout les jours. Sans doute se contenait-elle par rapport a la présence de la belle Inuzuka. Au vue du nombre de chien, sans doute mon interlocutrice était elle même issu de ce clan si proche de l'animal. « Cependant avant que je parte, il va sans doute falloir que faire changer mon pansement. » Je fis demi tour, me dirigeant vers la chambre, laissant les deux Inuzuka seule.

    «| « Alors tu viens? » J'aimais jouer avec les nerf des gens, les pousser, voir jusqu'où allait leurs seuil de tolérance. Je m'étais assit sur le lit qui avait été mien pendant un temps et qui ne serait plus. Les fenêtres dans mon dos, j'observais la porte, attendant de voir les deux femelles pénétrer la pièce. J'étais bloquer ici, alors pourquoi ne pas profiter du paysage qu'offraient les deux ravissante jeune femme du clan Inuzuka? Je n'étais qu'un homme et j'aimais regarder les femmes, surtout lorsqu'elles sont aussi belle. Lorsqu'enfin elles pénétrèrent dans la pièce, je repris la parole, l'air de rien. « Au fait, à qui ais-je l'honneur? » La fenêtre était ouverte et je sentais le vent ce glisser dans la pièce, la rafraichissant quelque peu.

    «| Avant qu'elle ne réponde, ou alors pendant, je commençais a retirer mon haut pour qu'elle est un accès plus facile à ma blessure. Je n'étais nullement gêner par le fait de montrer mon corps, puis si elle c'était occuper de moi, nul doute qu'elle m'avait vue dans le plus simple appareil. Le pansement était rouge, le mouvement de tout à l'heure avait apparemment eut raison de quelques points de suture. Rien de grave, je ne l'avais même pas sentie. J'allais en profiter pour me faire choyer. Quel homme n'apprécierais pas que l'ont s'occupe de lui? Pas moi en tout cas...

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MessageSujet: Re: «| Shiin' et l'hopital...   «| Shiin' et l'hopital... EmptyMer 30 Mar - 2:04


    « - Écoute moi bien gamine.

    La belle sembla un instant surprise mais ne laissa que quelques secondes son hésitation figurer sur son visage. Elle fixait le jeune homme, laissant s'écouler les secondes, attendant la bravade qui la ferait fondre sur lui.

    - Je pense avoir assez de vécu ne pas avoir besoin qu'une gamine vienne prendre des décisions pour moi.

    Elle plongea dans ses yeux bleus, de ses yeux bleus dont le contour était maquillé de noir et dont les cils doucement plissés étaient plongés par son regard. Malgré qu'elle serrait les dents, elle devait s'avouer qu'il avait de beaux yeux bleus. Mais son ton de voix acerbe, par contre, la piquait au vif. Elle se mordillait les lèvres, prête à le remettre sur le droit chemin. L'odeur qui se fit plus douce de Hana la calmait, au même instant que sa colère grondait toujours plus forte à chaque mot prononcé par le jeune homme.

    - Je me suis bien fais comprendre ? , continua le jeune homme avec un sourire franc.

    Pour seule réponse, elle ouvrit la bouche, pour la refermer aussitôt. Elle sentait le regard de sa cousine sur elle. De plus, elle se savait dans un hôpital, raison de plus de ne pas s'emporter. Dans le cas contraire, elle lui aurait balancé ce qu'elle pensait de cette réaction si froide. Elle avait voulu se montrer agréable, peut-être maladroitement, mais tout de même. Pas besoin de l'agresser pour quelque de si simple. De plus, la traiter de gaminer était offusquant, alors qu'ils avaient environ le même âge à première vue. Elle fixait toujours la porte qui se rouvrit, et par laquelle passa de nouveau le jeune homme. Celui vint s'asseoir sur le lit qu'il avait quitté plus tôt. D'un doux sourire hypocrite, il l'invita. Les fenêtres étaient ouverts et les tissus recouvrant les deux côtés se balançaient doucement avec le vent. Les cheveux noirs aux reflets bleus de l'impertinent se mouvaient avec le mouvement céleste.

    - Cependant avant que je parte, il va sans doute falloir que faire changer mon pansement.

    Les deux femmes entrèrent, suivis des quatre chiens calmes. Hana referma la porte, et Aya s'approcha avec réticence du jeune homme qui enlevait son haut, laissant voir ses muscles et ses blessures occasionnés par des années de combat acharnés. Elle se plaça en face de lui, assise, les jambes sur le côté pour être concentrée à sa tâche. Elle prit au passage le serviette et les bandelettes qui se trouvaient au côté du lit. Pendant ce temps, le jeune homme demanda :

    - Au fait, à qui ai-je l'honneur ?

    - Aya,
    répondit sèchement la belle aux yeux verts.

    Hana soupira de désespoir en entendant le ton de voix acerbe de sa cousine. De toute évidence, celle-ci n'avait aucune intention d'en dire plus. Elle devait Elle laissa quelques secondes passer, puis déclara :

    - Et moi, Hana Inuzuka, comme tu t'en doutes. Nous avons eu la chance de nous rencontre pendant quelques missions auparavant. Voici ma cousine, Aya. Les chiens que tu vois près du mur, de gauche à droite sont respectivement Koui, Kenage, et Chishiki que tu as déjà vu et qui sont mes coéquipiers, et Shirayuki, celle de Aya.

    Les chiens jappèrent un coup, et ensuite se reposèrent sur le sol, le nez sur leurs pattes, s'endormirent avec la fraîcheur du vent qui caressait leur pelage.

    - Bon, continua-t-elle, regardons cette blessure. Tu as le bras salement amoché. Avec qui t'es-tu battu ?


    Pendant ce temps, Aya lavait la blessure, caressant les blessures du bout de tissu, alors qu'elle enlevait très délicatement les tissus qui recouvraient le bras du jeune. Chaque geste, chaque effleurement, était précis et délicat, pour ne pas lui faire du mal. Concentrée à sa tâche, elle ne portait plus attention au jeune homme. Ses yeux verts étaient plissés sous la concentration. Hana lui conseilla doucement :

    - Aya, n'oublie pas que chaque mouvement brusque pourrait aggraver la blessure. De plus, lorsque tu auras fini de placer les bandages sur son bras, tu devras utiliser la technique de Irou que je t'ai enseignée il y a quelques jours. À cet instant, tu te dois de concentrer subtilement ton chakra. J'ai vu que tu en mettais en quantité trop grande. Les techniques de Irou permettent de guérir, comme tu le sais, de nombreuses blessures, tels que les petites éraflures, comme les hémorragies à un niveau supérieur. Mais lorsque le chakra est concentré sur un endroit particulier, en négligeant les contours, la blessure peut mal se refermer lors de techniques de plus haut niveau, et créer des perturbations sanguines. De plus, elles peuvent en outre , détruire les cellules qui cherchent à se reconstituer, avec la pression du chakra sur celles-ci, et les faire éclater. C'est un peu bizarre de dire ça, mais elles peuvent aggraver la blessure, pour les moins expérimentés. Essais de faire attention à cela, si tu veux passer à une autre étape.

    Aya, pendant le long monologue l de sa cousine, n'avait négligé en aucun instant ce qu'elle était en train de faire. Elle délaissa bientôt son lavage des blessures du jeune homme, pour se concentrer à faire ses bandages. Puis elle couvrit lorsque ce fut fait, elle couvrit d'un léger scintillement vert tirant vers le bleu le bras du blessé.

    - C'est bon, Aya. Tout va bien. C'est déjà mieux que hier. Bon, Shiin', tu ne songes tout de même pas à partir aussi vite ? Tu risques de faire rouvrir ses blessures. Résultat, on devrait tout recommencer.

    Aya rumina à la suite de ses mots. Hana surprise par le changement d'aptitude, écouta attentivement ce qu'avait à dire la belle aux yeux vert :

    - Qu'il essaie un peu de sortir. Je n'ai pas que ça à foutre de m'occuper de cet imbécile.

    - Oui oui, j'ai déjà entendu cela quelque part... , déclara sa cousine avec un sourire, n'as-tu pas dit la même chose concernant Chikamasa, l'autre fois ? Tu te contredis. Dès qu'une chose ne va pas convenablement, il faut que tu cherches à te trouver une excuse.

    - Je n'ai rien à redire à-dessus.

    - J'espère... Bien bien, notre blessé a-t-il de la difficulté à se mouvoir ? Essais un peu. Ça doit te faire moins mal en cet instant. Pendant ce temps, je vais chercher à boire. Tu dois avoir soif après ce comas. Je reviens dans quelques minutes. »


    Elle partit, en refermant la porte. Au même moment, Aya se relevait, en bayant aux corneilles, et alla flatter les chiens, qui se relevèrent pour aller l'entourer. À mi genou, la Inuzuka caressait chacun des pelages qui se trouvaient à sa portée.

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MessageSujet: Re: «| Shiin' et l'hopital...   «| Shiin' et l'hopital... EmptyMer 30 Mar - 16:58

«| Shiin' et l'hopital... |»

    «| Elle commençait les soins, apparemment novice dans la matière elle était conseiller par Hana comme je l'avais supposer plus tôt. Malgré sa frustration par rapport à mes remarque elle resta calme, mieux elle prit soin de ne pas me faire mal. Au moins elle avait l'intelligence de pas négliger son travail à cause de la colère, cela lui serait essentiel sur le terrain. La blessure avait été apparemment plus sérieuse que je ne lu crue mais elle était quasiment guérie. Quelques jours suffiraient pour que je retrouve la totale mobilité de mon bras. Hana qui m'avait elle aussi reconnu fit les présentations avec plus de gaité que sa cousine. Ainsi le fille au yeux sauvage portait le nom d'Aya. Il lui allait bien. Court, simple et facile à retenir. Hana cessa de me parler pour ce concentrer sur les actions de son élève. Puis elle reprit avec cette fois plus de sérieux. « Regardons cette blessure. Tu as le bras salement amoché. Avec qui t'es-tu battu ? » Le sérieux de sa voie ne retirait aucunement la douceur de ses mots. Elle me regardait, l'interrogation dans ses yeux. Nous avions fait des missions ensemble, elle avait donc une bonne idée de mon niveau. Elle savait pour que je sois blesser, il en fallait beaucoup et encore elle ne savait de moi que ce que j'avais pu montrer il y a de cela des années. Le visage haut, un large sourire, je lui répondis très honnêtement. « Je l'ignore. » Toujours souriant, la voie neutre, en oubliant presque la douleur des soins ou la présence de mon infirmière, je repris simplement. « C'est a mon retour de surveillance des alentour de la foret que je suis tomber sur deux étranger. C'est partie en combat et l'un d'eux c'est révéler plus fort que moi. Je suppose qu'il font partie de la lune rouge. On a déjà subit une attaque le leurs part y a plusieurs années après la mort du Sandaime. Hatake Kakashi avait été d'ailleurs grièvement blesser. Enfin, tout va bien, il faut juste que je prévienne le Hokage de cette rencontre. Elle m'avait écouter avec attention ce qui n'était pas le cas de Aya qui semblait totalement concentrer dans ses gestes.

    «| Hana partie alors dans un long discours qui cette fois n'avait aucun rapport avec notre conversation. Il n'y avait plus rien à dire. Elle donna quelques conseil à Aya pour que son application soit plus précise. Hana semblait être un bon professeur et Aya une bonne élève. Peut-être qu'un jour, moi aussi je serais en droit d'inculqué à des jeunes les notions qu'un ninja devait connaitre. Leurs enseigner l'esprit ninja et les former aux combats et aux autres situations périlleuse. Seul le Hokage pouvait cependant en prendre la décision. Les soins furent finalement terminer et je me sentais déjà mieux. Hana me demanda de bouger un peu pour constater qu'en effet, j'avais moins mal et que mes mouvements était plus fluide, plus automatique et moins forcer. Lorsqu'elle fut rassurer elle s'absenta un moment, laissant sa jeune cousine et moi même seul face à face. « Bon, maintenant que nous sommes seul, j'aimerais revenir sur l'une de t'es remarque. » Elle ne semblait pas surprise par mon intervention au milieu de ce silence rigide. Je me redressa alors, me plaçant face à elle. « Que j'essaie un peu de sortir? Cela était une menace? Une défi? En tout cas, ça sonnait tout comme. » J'étais près d'elle. Vraiment près. Mon nez touchais presque le sien. « Je suis un amateur de défi. Je vais donc t'en proposer un. Tu es en droit de le refuser évidemment. Mais je comprendrais ainsi que tu a plus de gueule qu'autre chose. Le genre de chien qui qui aboi plus qu'il ne mord. » Je pouvais sentir la colère en elle. La pression monter... L'excitation.

    «| « Je vais m'échapper, quitter cette endroit. Si tu m'attrape alors je m'excuserais pour mon impolitesse et je reviendrais ici sans discuter, je ne partirais que quand on me le dira. Je serais un patient modèle. Par contre, si tu n'y arrive pas... » Mon sourire fut plus prononcer encore. Ma voie fut plus douce, presque cajoleuse. « Alors tu devrais faire ce que je veux. En outre, ton corps, ton visage, ton comportement fait naitre en moi une excitation que j'ai beaucoup de mal a refréner, je profiterais donc de ton corps... » Je me tus alors. Attendant qu'elle réponde. Mais avant qu'elle ne refuse, je repris donc avec une touche d'ironie. « A moins que tu ne craigne d'échouer face a un blesser... Même une Kunoichi peu avoir peur après tout... Tu a peur toi? » J'insistais sur le mot peur. J'avais compris comment la prendre. Je l'avais déjà cerner. Les gens les plus colérique, les plus sauvage, les plus indépendant sont souvent les plus facile a cerner pour moi. Elle ne pouvais refuser. Afin de la pousser encore plus a bout, alors que ses lèvres aux rondeur prononcer s'ouvrirent, je lui vola un baisé, l'effleurant de am bouche. Respirant son odeur et la goutant avec profondeur. Avant qu'elle n'est eut le temps de réagir, le vent dans la pièce fut plus pressent et les rideau volait. Je venais de m'échapper par la fenêtre.

    «| Malgré mon bras, je courrais vite, sans aucun doute plus rapidement qu'elle, plus rapidement que ses chiens. Puis j'étais capable de suivre tous ses déplacements et ma faculté de déplacement rapide allait grandement m'aider a tous les esquiver. Allez piste moi, fatigue toi a tenter de rattraper ce qui ne peu l'être. Le pari pour toi est déjà perdu.

    « Je fendais l'air, frôlant les gens qui ne remarquaient même pas ma présence. J'entendais les aboiements des chiens qui tenaient de me suivre. C'est peine perdu, mais tellement drôle. Il y avait longtemps que je n'avais pas jouer, alors souffrir un peu, pour un peu de distraction, c'était un faible prix a payer celons moi. La vie est courte, je ne le savais que trop bien, je voulais en profiter avant que moi aussi je parte dans l'estompe. Avant d'aller rejoindre mes parents la bas. Suis moi gamine, prouve moi que tu a autant de volonté que je le pense. Montre moi ton courage et ta passion...

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MessageSujet: Re: «| Shiin' et l'hopital...   «| Shiin' et l'hopital... EmptyJeu 31 Mar - 2:15

    « - Bon, maintenant que nous sommes seuls, j'aimerais revenir sur l'une de tes remarques. Que j'essaie un peu de sortir ? Cela était une menace ? Une défi ? En tout cas, ça sonnait tout comme.

    Ses yeux, d'un bleu profond, la fixaient, transperçant son regard. De les pupilles dilatées par la menace, de la belle, apparaît brouillard de rage qui lui griffe et lui mord les entrailles. Elle le fixe, et son nez fin touche presque celui du jeune homme. Elle serra les dents, agressée, n'ayant aucune envie de lui parler. Il lui sourit, hypocrite.

    - Je suis un amateur de défi. Je vais donc t'en proposer un. Tu es en droit de le refuser évidemment. Mais je comprendrais ainsi que tu as plus de gueule qu'autre chose. Le genre de chien qui aboie plus qu'il ne mord.

    Un silence qui se perpétuait. Et elle plongeait dans son regard. D'un bleu néant, dans lequel on pourrait se perdre tel un bateau à la dérive, dont chacun de ses mouvements provoquaient des vagues ; vagues de rage, de haine. Clairs comme celui d'un loup magnifique, ceux du jeune homme. Une bête immaculée, dont chacun des mouvements émerveillaient chacune des louves à ses côtés. La silhouette de la jeune femme au délicieux regard se tend. Son corps lui crie de le frapper, une éternelle fureur, celle qui la prive quelque fois de ses repères, brillait dans ses yeux.

    - Je vais m'échapper, quitter cette endroit. Si tu m'attrapes alors je m'excuserais pour mon impolitesse et je reviendrais ici sans discuter, je ne partirais que quand on me le dira. Je serais un patient modèle. Par contre, si tu n'y arrives pas...

    - Lance pauvre con, au chien qui aboie plus qu'il ne mord ! Tu vas voir si la petite bête va être aussi gentille avec toi qu'elle l'a été jusqu'à présent !

    Un sourire plus large, des yeux saphir doucereux. Un magnifique visage dont les paupières s'abaissèrent, tendrement. Un ton de voix doux, enjôleur sortit des profondeurs de sa gorge, puis un air rêveur se vit accroché sur son visage. Il était irrésistible. Il était si mignon à présent, mais en même temps, il puait le désir. Son odeur qui jusqu'à présent avaient été mélangé à l'hôpital, et dont elle n'avais pas porté attention, s'insinua dans ses narines.

    - Alors, tu devras faire ce que je veux. En outre, ton corps, ton visage, ton comportement font naître en moi une excitation que j'ai beaucoup de mal à réfréner, je profiterais donc de ton corps... À moins que tu ne craignes d'échouer face à un blessé... Même une kunoichi peut avoir peur après tout... Tu as peur, toi ? »

    Il y a quelques minutes, elle ne portait une attention moindre au jeune homme, préférant s'abstenir de se concentrer sur quelqu'un d'aussi hypocrite et de perdre son temps. Pourtant, à cet instant, elle sentit fulgurant le désir masculin qui transpirait de cet être. La grisant. Une effluve entêtante d'un mâle en rut. Elle grogna en plissant le nez, dégoûtée qu'un homme comme lui, puisse la trouver à son goût. Lui demander de coucher avec lui, alors qu'ils se voyaient pour la première fois, était indigne. C'était une insulte pour elle. Elle n'était point une femme facile. C'était un homme répugnant.

    Elle ouvrit la bouche, prête à lui lancer à la figure ce qu'elle pensait d'un être aussi idiot et ignoble tel que lui. Ce fut une grave erreur. Il l'attrapa par la taille, effleurant ses lèvres sucrés des siennes. Elle claqua des dents, mais il s'enleva à temps, s'enfuyant par la fenêtre sautant gracieusement sur le sol. Elle se propulsa vers la fenêtre, lui criant de revenir tout de suite, de le menacer de lui casser l'autre bras, mais rien n'y fit. L'atterrissage du blessé fut un délice visuel. Tandis que ses vêtements, tels les ailes d'un oiseau, battaient les air et que ses pieds furent sur le sol, son corps fut à genou. D'une poussée, il creva la bulle d'air, faisant résonner le vent. Ses pas rapides et vifs le propulsèrent à plusieurs mètres, avec une rapidité étonnante. Voltigeaient ses vêtements autour de lui, et ses bras laissés ballants, était repoussés derrière lui par la clameur du vent, son corps abaissé vers l'avant, tel un cheval au galop. Il traversa le terrain de l'hôpital sur lequel se reposaient plusieurs montures qui furent surpris par l'homme. Lorsqu'il passa la grande porte, il tourna à droite, disparaissant dans les ruelles.

    - Imbécile, reviens ici, pauvre con ! Je vais te faire payer cet acte répugnant, ce manque de respect, et t'enfermer dans cet hôpital jusqu'à ce que tu termines tes nuits dans un asile ! Non mais ça va pas de me proposer de coucher avec toi ! Gros pervers, je vais t'arracher ce qui fait de toi un homme, répugnante créature ! Tu ne mérites même pas que je me suis occupée de toi ! Tu ne mériterais que de crever !,
    cria la jeune femme en bondissant à l'extérieur à sa suite.

    Les chiens jappèrent furieusement à son annonce, et se propulsèrent tous l'un après l'autre à la suite du fugitif par la fenêtre laissée ouverte par la belle aux yeux bleus. Aya fut la première sur le sol, ou quelques secondes auparavant se trouvait le jeune homme. Elle grogna, tandis que les chiens se taisaient et l'entouraient.

    - Tu vas me payer, pauvre abruti. Tu vas payer, je te dis. Mille fois. Aucun homme ne m'a jamais touché, et je ne m'abaisserai jamais à faire l'amour avec un personnage aussi repoussant que toi.

    Aya prit une grande respiration, puis s'abaissa, laissant couler son chakra sur son corps. Ses yeux fermés, elle sentait la chaleur sur sa chair cachée par ses vêtements d'une blancheur immaculée. Ses muscles fins se durcirent, ses dents s'aiguiser et ses ongles grandirent, devenant crocs et griffes. Ses pupilles se dilatèrent un peu plus. Les chiens qui la fixaient, battaient l'air de leur queue, et résonnaient leurs coeurs à l'unisson. S'unissant sous un même drapeau, ils allaient chasser. Chasser du loup aux yeux bleus. Puis le sang bouillant de la femme battant dans chacun de ses membres, se déplaça au même moment que ses membres se propulsèrent à l'avant, fixant l'immensité qui se déroulait sous ses yeux. Et d'un même battement de tambour, les chiens levèrent le nez vers le passage qu'avait pris l'homme. Cria alors la jeune femme, dont chacun des mouvements étaient fluides, comme de l'eau, qui tombait d'une falaise :

    - Koui, Kenage, Chikishi, vous partez à gauche, je pars avec Shirayuki à droite. Nous aurons plus de chances de le trouver si nous nous dispersons. »


    Et ainsi se dispersèrent-ils dans l'environnement, et que leurs pas raclaient furieusement le sol. Elle sentait son odeur, la poursuivait. Sentant son désir, mais aussi sa joie, et sa fureur dans chacun de ses battements de coeur. À quatre pattes, elle se propulsait dans les ruelles, dérapant à chaque coin de rue, lorsqu'elle entendait sa senteur enivrante, le perdant de vue un instant, pour le retrouver une seconde plus tard. Chacun de ses mouvements, chacun de ses soupirs, elle les entendait, et telle une proie, il esquivait la méchante prédatrice. Sa concentration était à son comble, et elle admirait la silhouette disparaissant, mais surtout ce regard. Magnifique étaient ces yeux, lorsqu'il se retournait, et lui souriait taquin, semblant apprécier lui aussi la course. Le souffle de Aya était saccadé, et ses pas semblaient flotter sur le sol. Les cailloux se répandaient sous ses pas frénétiques. Le ciel était clair, et aucun nuage n'était ne faisait disparaître les rayons du soleil. Celui-ci laissait sa chaleur et sa lumière s'étendre sur le sol, tandis que leurs ombres se noyaient ensemble dans celles immenses des bâtisses, plongeant sur leurs corps. Ils traversaient sans crainte les marchands, dont quelques uns se retournaient sur leurs passages, étonnés, s'exclamant sur leur passage :

    « - Qu'est-ce qui se passe ? Ils sont fous à courir comme ça !

    - Ils font quoi, là ?

    - Mais ils sont dingues ! »


    Et répondaient que leurs souffles saccadés à ces brimades.
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MessageSujet: Re: «| Shiin' et l'hopital...   «| Shiin' et l'hopital... EmptyLun 4 Avr - 19:29

«| Shiin' et l'hôpital... |»

    «| Elle me suivait, s'en était presque impressionnant, sa l'aurait été si je n'avais pas été blesser et si elle n'utilisait pas de subterfuge pour gagner en vitesse. J'avais sentie son chakra changer, devenir plus puissant. Technique de son clan. Je jetais parfois un œil au dessus de mon épaule afin de voir si elle perdait ou gagnait du terrain sur moi. Je voulais jouer, donc si je la voyais gagner sur moi, alors j'augmenterais ma cadence, si elle perdait du rythme et que je commençais à m'éloigner alors je ralentissais. Je voulais qu'elle comprenne que je menais le jeu et qu'au milieu de cette foule, notre course folle ne verrait à sa tête que la mienne. Lorsque je me retournais pour observer ma poursuivante, je prenais plaisir à l'observer. Elle avait ressortie un coter bestial, courant sur quatre pattes pour plus de vitesse, ses cheveux volant sous le passage tiède du vent, ses yeux vert foret qui ne regardaient que moi, en oubliant tout ce qui se trouvait autour. La concentration d'un chasseur qui ne voie plus que sa proie. Petite fille, sache que c'est sans doute l'erreur des plus grand chasseur. Oublier les détails, ne ce concentrer que sur ce que l'ont désir. Je ne le sais que trop bien pour être habituellement celui qui chasse. Au fond, dans cette course qui uni nos corps dans un même effort, qui est le prédateur et qui est la proie? Seul le dénouement final de cette escapade folle pourrait répondre à cette interrogation.

    «| Il ne fallut qu'une seconde pour que je ne finisse au sol, rouler en boule en me fracassant par moi même. Une femme devant moi que j'avais eu tout juste le temps d'éviter était apparue alors que je venais de me retourner sur moi même pour observer la bête qui me pourchassait. Ce fut son crie et mon incroyable vitesse de réaction qui me sauva de l'accident. Qui la sauva surtout. Je ne pris pas le temps de m'excuser, le chienne du clan Inuzuka était sur mes pas et avait gagner un précieux temps sur moi. Je repris en vitesse. Lorsque je senti une puissante impulsion de chakra sur ma gauche. Un regard vers le haut. Un chien dans les airs, la gueule ouverte, la bave au vent. Impressionnant. Les chiens traqueurs m'avaient retrouver plus rapidement que je ne l'aurais crue. La mâchoire de l'animal s'enfonça dans le vent et son corps s'écroula lourdement sur le sol dans un rugissement de douleur. Le choc lourd avec le bitume lui avait sans doute brisé une patte.

    «| La chienne du clan Inuzuka arrêta sa course car... Elle n'avait plus rien à poursuivre. J'avais disparue, je m'étais évaporer, ne laissant a ma place qu'un amas de poussière et un chien blesser. Telle étaient mes compétence. J'étais capable de venir et de partir, d'être la, puis de ne plus être la. J'étais insaisissable comme le vent. Imaginer l'arc en ciel illuminant le ciel bleu de ses couleurs délicate, ressentez cette envie de l'attraper. Voyez vous lui courir après, espérez pouvoir l'atteindre, le toucher, le caresser. Je suis comme cela. Beau, insaisissable. Aya... Petite Aya, l'aura tu compris? Et si c'est le cas, cessera tu de courir après moi? Brisera tu l'espoir à cause de cette barrière qu'est l'inaccessible? Tu me rappel quelqu'un avec qui j'ai deja jouer a se jeu sauf que cette fois la les rôles étaient inverser... Aya.. Petite fille... Ne serais-tu pas cette dernière? Je ne peu pas me tromper. Le chien, cette beauté sauvage et surtout cette insolence enfantine... C'était elle, c'était sur.

      «| Je courrais derrière la vagabond utilisant mon agilité & ma vitesse pour passé outre toute la peuplade, personnes n'étaient susceptible de me gêner. J'étais pourtant impressionner par la vitesse et l'habiliter don elle faisait preuve. J'ignorais son age, 14 ans? Peut-être 15? Elle en faisait en tout cas pas moins. En vérité, la frustration était devenu dans ma course, de l'amusement, j'avais envie de jouer avec elle, ce tempérament de feu, la faire exploser, voila ce qui me fallait pour me détendre. Je la suivais de prêt, je doutais qu'elle soit capable de m'entendre ou de me repérer au travers la foule, mais une Inuzuka, chose qu'elle était sans aucun doute, du moins, je l'avais supposer en voyant l'animal. Le petit sac à puce qui ne faisait que geindre au milieu de la foule qui ne semblait pas ce rendre compte de ce qui se passait autour d'eux. Amusant de voir à qu'elle point les hommes peuvent être aveugle, comme-ci ils possédaient des œillères leurs cachant la vérité. Je trouvais cela pathétique, je préférais voir la vérité au risque de tomber dans la fatalité que d'avoir une image grossière voir utopique du monde. La vie était moins fade, moins monotone lorsqu'on la voyait comme elle était. De toute manière, je ne vivais que pour une chose, le voir mort.

      «| « On s'arrête la! » Mon corps était étendu de tout son long, ma main ouverte se refermait sur ses cheveux, mon corps détendu se contractait, tirant en arrière la tête de l'adolescente. Mon visage était celui d'un satire & mon rire s'étendait au travers la foule avec éloquence. La seconde d'après, son corps s'écrasait lourdement au sol, son animal avait qu'en à lui fait plusieurs mètres en avant pour allez s'écraser dans des étalages. Mon genoux gauche au sol, ma main droite poser a coter de sa tête, mes yeux dans les siens, ma position était semi pencher en avant, mes appuis étaient parfait. « Je t'es demander de t'excuser.... » Mon visage était marquer d'un large sourire, le sourire de la supériorité. Un sourire malsain. Avant qu'elle n'est pu dire quoi que ce soit, mon poing s'abattit sur son visage. Une trainer de sang s'échappa de sa bouche.


    «| J'allais la retrouver. Elle avait perdu son défi. Plus aucune piste, plus aucune trace, rien pour me suivre. Son défi était perdu. Elle le savait sans aucun doute. Elle l'avait sans doute su a l'instant même ou mon odeur avait cesser. La ou je me trouvais. Vieux sanctuaire de mon père. Mon mentor. La ou j'étais, personne ne pourrait me retrouver. Je pris le temps de respirer, reprendre mon souffle. repenser à ma rencontre passé. Elle qui avait vue le vrai en moi...

      «| Je la regardais attendre une mort qui ne viendrait pas. C'était lâche & pourtant courageux. Étrange, non? Son comportement était à la fois ambitieux & totalement désespérer. Au final, c'était relativement lié, l'un n'avait pas sans l'autre, l'ambition menait bien souvent au désespoir, car rare sont les gens qui parviennent à la hauteur de leurs ambitions & le désespoir fait naitre en nous l'ambition, l'ambition de mieux réussir, d'être moins désespérer...

      «| « C'est bizarre, tu es a la fois la personne la plus intéressante & la plus pathétique que j'ai rencontrer dans ma courte vie. » Je la regardais sans aucune émotion dans le regard. Une indifférence presque insultante. Puis je lui tournais le dos. Mon père avait laisser filer son chien de frère, il arrivait & n'était pas dans le meilleur des états. Le contraire aurait été étonnant, il était rare que les gens qui lui faisait face reparte indemne. J'imaginais bien son état, pourtant je n'allais pas attendre son arrivé, non, le moment était plus que mal choisi pour affronter quelqu'un & cela même si j'étais donner gagnant. J'allais le laisser prendre soin d'elle. Elle allait en avoir besoin.


    «| Je disparue de cette planque connu de moi seul pour réapparaitre prêt de l'hôpital. Il ne me fallut que peu de concentration pour retrouver sa trace. Son chakra était différent que celui des autres. Plus beau, il me semblait agréable, doux et sauvage. Il était facile de la repérer au travers tout le reste. Elle n'était pas loin et sans doute avait-elle déjà retrouver l'effluve de mon odeur nouvellement apparue. Je me mis alors a courir vers elle, son chakra s'approchait rapidement...

    «| Je vais te chasser, te retrouver et te faire rappeler. Je suis certain que tu te souviens de moi au fond de toi, je vais faire ressortir ce que tu a enfouie en toi. Prépare toi ma jolie chienne de Konoha car j'arrive... Un kunai en main, j'allais lui faire goutter a la peur et a la sensualité. La sexualité qui pouvait être transmise par la brutalité. Déjà je ne sentais plus aucune douleur dans mon bras. Je l'avais oublier. Il n'y avait que elle et moi...

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MessageSujet: Re: «| Shiin' et l'hopital...   «| Shiin' et l'hopital... EmptyMar 5 Avr - 1:02


    Il disparut. Parti dans les nébuleuses du rêves. Volatilisé dans les poussières des souvenirs. Elle s'arrêta. Fixant de tout côté ou était passé le loup. Nul pelage étincelant, nul yeux bleus. Nul homme aux magnifiques muscles et au vêtement battant l'air. Il avait totalement disparu. Comme si l'attaque des chiens avait eu raison de lui. Elle ne sentait plus son odeur alléchante, ni son désir entêtant. Un homme de moins sur cette terre. Mais quel homme. Un homme gracieux et rapide. Elle se sentait bien qu'à y repenser. Elle avait apprécié cette petite course, le pourchasser, le traquer. Pour qu'il plie l'échine et subisse son jugement.

    Les chien et la Inuzuka se trouvaient dans une forêt. Ils s'étaient pourchassés tant et aussi longtemps qu'ils s'étaient écarté de toute l'agitation des marchés. Aya, après avoir vérifié que le jeune homme s'était éloigné suffisamment, s'approcha lentement de Shirayuki qui avait retombé mollement sur le sol, sa patte blessée. Celle-ci mordait sa patte gauche antérieur, essayant d'étouffer la douleur de celle droite inférieur. Elle était peut-être féroce, mais ce n'était que façade. Elle pouvait chialer pour une petite éraflure. Aya soupira, délaissant ce chakra bouillant qui coulait dans ses veines et sur sa chair, pour se lever et se positionner près de la chienne. Elle leva sa main près du membre de la petite créature blanche, et laissa s'écouler la sphère bleuté sur la chair. Cela permit à la grande chienne élancée de se relever un instant plus tard, accoudée par ses trois autres comparses qui vinrent lui lécher l'oreille et la lui mordiller de joie. Ceux-ci se mirent à sautiller gaiement autour d'elle, lorsque leur compagne fut debout, semblables à des cervidés bondissant. Ils se pourchassèrent quelques minutes, grognant et se battant comme de vrais camarades. Aya, qui était dans le milieu de cette tornade de dents et de poils, riait aux éclats en voyant cette bagarre généralisée. Le calme avant la tempête. Un instant d'allégresse. Avant que ne retombe le voile de la chasse et que ne brille l'éclat du pelage blanc de la Bête. Mais cette fois-ci, ce ne serait pas la Belle qui traquerait, mais ce serait elle qui serait traquée.

    Une odeur confuse se fit sentir. Elle releva la tête, commençant à se souvenir du pacte malencontreux qu'elle venait de faire. Elle commença à frissonner, espérant qu'il n'avait pas été sérieux dans ses paroles. Les quatre chiens s'arrêtèrent et la fixèrent, comprenant alors que la proie était devenue le prédateur. Et que se répandraient ses mots, ses menaces sur la chair de la vierge Inuzuka. Ils grognèrent. Tapèrent de la patte sur le sol, soulevant la poussière et se relevèrent leur museau vers le ciel, hurlant haineusement. L'heure du jugement était arrivé. Il se rapprochait. Et ce n'était pas pour prendre une tasse de thé, c'en était certain. Il était venu pour prendre ce qui lui était dû. Aya se releva, tremblotante. De toute évidence, il ne rigolait pas. Sans demander sans reste, elle déguerpit suivie des quatre chiens, son escouade canine.

    Pendant plusieurs minutes, elle sautait. Dérapait. Lorsqu'elle trouvait un précipice sur lequel tomber, s'écrouler, sur lequel créer une avalanche de cailloux dans ses mouvements. Jeune louve pourchassée par le chasseur. Traquée. Les chiens l'entouraient, et la gueule béante, coursaient loin, très loin. Ils la suivaient pas à pas, la protégeant. Aya avait réellement peur et essayait tant bien que mal de trouver Konoha dans cette forêt profonde. Rien pourtant ne présageait qu'elle les trouverait de sitôt.

    Un souvenir, un dérapage dans sa course folle. Et elle est plongée dans les souvenirs, de ceux qu'elle avait partagé avec le loup blanc. Le même qui la pourchassait en cet instant. Ces yeux bleus, cet air bestial, ce visage angélique et à la fois balafré par les cicatrices de haine et de mélancolie, dont perlaient les larmes de sang de son visage. Ce loup qu'elle avait tant espéré revoir, qu'elle avait rêvé en même temps d'espérer le retour pendant de nombreuses années, était maintenant là. Elle l'avait oublié. Il s'était éteint. La flamme qu'elle avait ressentie, s'était volatilisée, abattue par les vents de la jeunesse. Comme si il avait été un mauvais souvenir que l'on n'a plus envie de se remémorer. Elle était petite à l'époque, innocente. Et étaient gravés dans ses mémoires les dents de la Bête, sur son pelage mordoré. Des effluves, et une colère amoindrie. Tout ce qui était nécessaire pour que ressurgissent les yeux bleus de l'enfant au doux visage dont elle avait espéré caressé tant et si bien du bout du doigt, de sa main frêle. Elle avait été hypnotisée par ce regard et cette férocité animal qu'il avait démontré il y a plusieurs années. Et ces mots, gravés dans sa mémoire, lui restaient sur le bout de ses lèvres sucrées. Elle s'en souvenait maintenant :

    « Alors, toujours aussi sur de toi ?

    - Je le suis encore. Mais je ne rigole plus , se dit-elle mentalement en grinçant des dents, en écho à ses songes. Je ne rigole plus. Non, je ne rigole plus. Alors va-t-en ! Je n'ai plus rien à t'offrir, ni à te donner. Va-t-en, homme sans pitié. Je ne veux pas de toi. Tu essais de me toucher, je t'arrache les yeux. Tu ne mérites personne, rien qu'une éternelle honte, vu ton comportement sans honneur. Espère ce que tu veux. Ton odeur ne trompe pas. Tu as couché avec tant de femmes, que ça en est ridicule. Tu es soit trop con, soit ton vil. L'un ou l'autre, on s'en fiche. Ce qui compte, c'est que tu ne prennes pas plaisir à venir me quémander des caresses. J'ai pu te convoiter te désirer. Et de toute évidence, tu sembles m'avoir reconnu. Mais tu n'es qu'une ordure, pauvre imbécile. Va-t-en !

    Et ses pas continuaient, et une larme s'écoula. Elle ne savait qu'en penser de cette situation. S'il avait des ambitions infâmes, alors elle lui ferait payer de se jouer de ses semblables, ce répugnant personnage. Elle n'avait rien, absolument rien à lui donner. Et il n'aurait rien d'elle. Même si elle l'avait désiré par le passé, comme une petite fille était en droit de le faire.

    Et alors elle le vit. Apparu sous ses yeux, comme un funeste présage à une dizaine de mètres d'elle. Elle s'arrêta dans une éclaboussure caillouteuse. Les chiens dérapèrent dans un grand hurlement de terreur, vu l'arrivé inopportune du jeune. D'où était-il arrivé ? Elle n'en savait strictement rien. Et elle s'en foutait carrément. Elle lui lança un regard furieux, glacial face à ces yeux bleutés et si magnifiques, et détourna la tête sur le côté, dégoûtée.

    « - Hayasa no Shiin'... , commença-t-elle acerbe. J'espère que tu n'es pas là pour que je t'offre ta part du marché, car tu n'auras rien. J'ai d'autres chiens à nourrir que m'occuper d'un crétin de ton genre. Donc laisse moi... laisse moi et surtout va-t-en, sale égoïste ! J'aurais cru que je tomberais sur mieux en te revoyant, mais à ce que je vois, j'ai eu tord. Un pauvre con incapable d'être fiable, voilà ce que j'ai en face de moi. À présent, au revoir ! Ah non... je préfère adieu. La prochaine fois, ne compte pas sur moi pour te porter secours et te sortir de ton trépas imminent. »

    Et elle se retourna, ses chiens grognant faisant de même.



Dernière édition par Aya Inuzuka le Jeu 14 Avr - 0:37, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: «| Shiin' et l'hopital...   «| Shiin' et l'hopital... EmptyLun 11 Avr - 13:50

«| Shiin' et l'hôpital... |»

    «| Les paroles surgissaient comme des rugissements. Elle déblatérait ses mots, ses phrases comme on lançait des kunai. Dans le but de blesser de faire mal ou de se défendre, d'avoir moins mal de se qui pourrait advenir si jamais elle laissait faire. L'auto défense par l'attaque. Frappe avant d'être frapper. Comme elle était amusante. J'approchais à pas de loup, lentement, tel un prédateur. Les chiens l'entouraient, la protégeant de... moi? Amusante créature poilu. « Bouh! » Dis-je avec force et ironie tout en basculant rapidement vers l'avant. La réaction fut rapide et tout les chiens s'élancèrent vers moi, laissant la jeune femme en retrait. Je frappa alors dans mes mains, mon chakra se mit a réagir de suite, tendant les mains en avant comme-ci je me préparais a lancer vers le groupe un puissant faisceau de chakra, les chiens bondirent vers moi, leurs gueules béante... Sept mètres... Six mètres... Cinq mètres... Puis plus rien. Plus un bruit. Plus une grondement. Plus un aboiement. Plus une chien. Juste elle. Juste moi. « Je crains que tu ne revoie jamais les bêtes. » Je ponctua ma phrase d'un petit sourire malsain.

    «| Je continuais a m'approcher d'elle. Sa colère devenait peur. « Sache petite que je ne te demande pas ton avis. Tu va payer ta part du marcher. Que tu le veille ou non. » Je continuais à marcher. Démarche gracieuse. Féline. Dangereuse. Mon regard océan était endiablé de désir. Je la voulais. « Cependant, ce sera plus agréable pour toi de te donner de grée plutôt que je ne te prenne de force. » Je voulais qu'elle me désire. Et au delà de la crainte, du dégout, elle ressentait du désir pour moi. Elle me voulait presque autant que je la voulais.

    «| J'arrivais enfin au plus proche de la belle. Si prêt d'elle qu'un simple geste de main me suffirait à la toucher. Ce que je fis. D'un geste si doux qu'il en paraissait irréel, je lui attrapa la main. « Partons... » Au milieu du boit, il ne resta que la nature.

    «| Il faisait noir. Sombre. Ma main tenait toujours la sienne et le contacte avec sa main était doux. « Te voila dans mon repère. Il est inaccessible de l'extérieure, tu n'a aucun moyen de t'échapper. » Je relâcha sa main, lui tournant le dos tout en m'éloignant d'elle assez lentement. L'endroit était illuminer par de petite bougie, signe que malgré l'inaccessibilité de l'endroit, il y avait des entré d'air. Je pris alors une tasse ainsi qu'une théier. Je versa alors le contenue dans la tasse sans prêter la moindre attention à mon invité.

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MessageSujet: Re: «| Shiin' et l'hopital...   «| Shiin' et l'hopital... EmptyMar 12 Avr - 2:30


    Avant qu'elle ne puisse s'éloigner, il approcha. Son regard bestial, sa silhouette menaçante. Loup solitaire, mais prêt à marquer son territoire. Loup blanc aux yeux bleus. Il s'avança sur le sol meuble et ses pas fracassaient le sol comme la symphonie tonitruante de grands tambours menaçants. Les chiens, à l'affût du moindre signe d'attaque de l'homme sauvage, baissèrent les oreilles, la bave dégoulinant de leurs gueules et leurs yeux fixés sur le corps longiligne du carnassier. Il approcha, pourfendant de son corps l'espace réservé aux chiens et à la belle. Et avec une rage incommensurable, les chiens fracassèrent de leurs pattes le sol, montrant les crocs, prêt à mordre dans la chair, masquée ou non de l'homme. Il semblait s'amuser de situation, elle nullement. Les chiens s'entassaient autour d'elle. Une protection animale. Tout comme elle, dont le chakra voltigeait sur sa chair. Sa chevelure se mouvait au vent, et sous ses douces pommettes, figuraient ses crocs. Effilés, prêts à dépecer sa proie. Nullement impressionné, il s'avança aussi près d'une dizaine de mètres de la meute craintive. Puis dans un mouvement brusque, provocateur, presque enfantin, il précipita dans un même mouvement les canidés. Dans une tornade de poils, et de hurlements, ils s'élancèrent, fracassant le sol de leurs pattes, et bondissant, et bondissant, alors que leurs yeux fixaient l'animal solitaire qui cherchait à défaire la protection de la belle. Un mètre, deux mètres, trois, quatre, cinq. La danse foudroyante de leurs pelages sur l'horizon vert, étaient présage de querelles imminentes. Ils le pourchasseraient, et tel un perdrix incapable de percevoir le danger, et tiré dans son vol, il tomberait sous les morsures des bêtes. Ils hurlaient, et hurlaient, et dans un même dernier saut, s'élancèrent vers l'homme, grisés par la rage.

    « - Bouh !

    Ce mot avait été suffisant pour créer une tempête foudroyante, une tornade exténuante, s'élancer vers lui. Aya se sentait à l'abri vu la fureur des chiens et avait baissé sa garde. Elle laissait filer la tempête sans y participer. Sans jamais y mettre le pied. Elle vit seulement une lumière, petite étincelle adoucir le paysage. Et alors que les bêtes atterrissaient, ils disparurent. Sans un cri de plus. Sans un hurlement de moins. Rien de moins, rien de plus. Ils se volatilisèrent. Elle releva les yeux vers lui. Plongeant dans son regard. Et ses crocs disparurent, ses pupilles se dilatèrent. Son pouls s'accéléra. Telle une bête craintive, ne sachant par ou commencer les recherches de sa meute. Celle-ci avait disparu. Et de ses yeux, son regard se fit voltigeur, pourchassant chaque mouvement de la forêt pour retrouver les bêtes protectrices. Son odorat était plus qu'affûté, et elle humait les odeurs tumultueuses de l'homme, des bêtes, pour y trouver trace présage de cette disparition incongrue.

    - Je crains que tu ne revoies jamais les bêtes.

    Elle lui lança un regard pénétrant. Ni agressif, ni larmoyant. Plutôt aussi impassible que la louve laissée à l'abandon, et incapable de se défendre. Sans sa meute, sans Shirayuki tout particulièrement, elle se trouvait aussi démunie qu'un chiot. Elle perdait avec son absence la moitié de ses capacités. C'était la meilleure manière de rendre bien docile une Inuzuka. Bien sûr, à la moindre bavure, elle s'élancerait crocs et griffes dehors pour se défendre, sans aucune appréhension à ce qui pouvait suivre. Mais il y avait un certain décalage entre le moment ou l'on se trouvait seul, et ou l'on se trouvait dans un danger tel que l'attaque était meilleure que l'obéissance. Un chien, quel qu'il soit, préfère obéir, en refusant certaines tâches ingrates pour sa personne, lorsqu'il est seul. La meute est la meilleure défense. Sans elle, c'est l'obéissance. Si ceci n'est pas suffisant, alors, ce sera le suicide, pour ne pas perdre son honneur.

    Il marcha vers elle, doucement. Son sourire carnassier figé sur son regard. Elle baissa le regard, le détournant. Obéissante. Petite louve amicale. Délicate. Tranquille. Elle serra ses bras près d'elle, serra ses cuisses, ses cheveux éclaboussés par les feuilles qui voltigeaient autour d'elle. Masquant son visage à la vue de l'homme. Un dernier refuge. Elle ne parlait pas. Elle n'en avait pas besoin.

    - Sache, petite, que je ne te demande pas ton avis. Tu vas payer ta part du marché. Que tu le veuilles ou non.

    Elle ne répondit pas. Elle n'avait rien à redire. Mieux attendre qu'il s'en aille, ou que les chiens reviennent pour retrouver tout son courage et sa force. Pour l'instant, elle n'était pas en état d'attaquer. Plutôt d'écouter. Pour trouver la faille. Pour mieux dépecer sa proie. Il était en avantage, et valait mieux pour elle d'attendre le moment propice pour dépecer la proie. En sous nombre, les loups attendent avant d'abattre leur crocs sur le troupeau de bovidés au galop. Les carnassiers attendent silencieusement, comme si leur désir carnivore est un écoulement qui va de soit. Une rivière dont les vagues et les chatoiements font défaillir chaque être sage, mais qui attire chaque imprudent dans ses enfers. Malgré son enchantement, elle reste ce qu'elle : un présage infortune mais si magnifique.

    - Cependant, ce sera plus agréable pour toi de te donner de gré plutôt que je ne te prenne de force.

    Elle le laissa prendre sa main sans discutailler plus que nécessaire. Elle laissa l'homme carnassier prendre sa patte, celle de la louve craintive, pour goûter à la chaleur et la tendresse de ses mains. Elle se laissait faire pour l'instant, mais rebondiraient peut-être dans une seconde, peut-être dans la minute qui va suivre, peut-être dans l'heure qui fuyait, qu'ils pourchasse inlassablement de sa témérité face à la louve dominante, mais sage en cet instant, les cris de rage dans la poitrine de la belle. Elle le tuerait si il essayait quoi que ce soit, ou mourrait de cœur et d'esprit à la suite de l'acte, si il l'obligeait à perdre la splendeur de son pelage.

    Et puis disparut la forêt. Et vint que le néant. Ses pupilles prirent un instant à recouvrer tous leurs pouvoirs, de même que son odorat perturbé par le changement d'endroits.

    - Te voilà dans mon repère. Il est inaccessible de l'extérieur, tu n'as aucun moyen de t'échapper. »

    Il relâcha sa main, et elle resta dans l'ombre. Sans rien dire de plus, l'homme alla à la table et se versa du thé et en but goulûment. De ses yeux purs, doux, mais impassibles, la louve ne fit rien. Ne dit rien. Les flammes flottaient sur ses pupilles. Ses bras qui jusque là étaient appuyés contre son ventre, se laissèrent retomber sur le côté. Elle desserra ses jambes. Attentive aux moindres agissements de l'homme. Elle recula d'un pas, puis d'un autre. Et se plongèrent sa silhouette et ses pupilles émeraude dans le noir. Elle laissa glisser sa main contre les murs avec une douceur tranquille. Elle avançait à tâtons, rien l'aide de son audition et de son odorat, pour trouver une issue. Sa vue était occulté au profit de ses instincts animaux, pour qu'elle puisse s'immerger totalement dans le néant. À tel point que le sens le plus utilitaire pour l'homme devint déficitaire. Elle laissait s'écouler dans son âme chacun des mouvements d'air, des battements de cils, jusqu'aux glouglous de la gorge de l'homme, pour laisser son être devenir animal. Elle entendait chacun de ses battements de cœurs, plus distinctement que d'habitude. Sa main glissait, et glissa, tâtait. Et sa vue était brouillée pour mieux percevoir les orifices innocents qui étaient répartis sur son passage. Elle fixait son attention sur tout ce qui aurait pu lui l'aider à s'échapper. Son nez percevait chaque amalgame odorantes capables de la diriger. Comme un chien sur une piste, elle approchait son nez du mur, pour mieux diagnostiquer en quoi étaient constitués les effluves qu'elle percevait. Sa vue n'était plus nécessaire pour exécuter ce travail. Elle était silencieuse comme l'ombre, aussi délicate qu'une bête mystérieuse. Elle glissait sur le mur comme une feuille voltige au printemps.

    Elle fit ce manège quelques longues minutes, peut-être même une heure ou deux. Elle ne savait pas. Elle fixait son attention à sortir de là, et guetter la prise de décision infâme de l'homme pour la prendre sans autorisation. S'il osait, elle le tuerait. Elle le dépècerait. Elle privilégiait ses instincts bestiaux et sauvages, pour moins souffrir au cas ou il la prendrait. Elle laissait la bête grogner en elle, et elle arracherait la chair de l'homme s'il l'approchait. Elle avait peur. De plus en plus peur. Mais elle était sourde à sa rage. Et elle laissait son être s'accaparer tout ce qui l'approchait de la chienne. Laisser se perdre dans l'infinie ses sentiments régressifs, pour qu'ils ne restent ceux qui soient mélioratifs en cette circonstances. Si elle gardait en soi ce qui faisait son humanité, elle voulait offrir la violence regrettable qu'il avait provoqué en elle. Elle ne pouvait laisser le loup insolent prendre la chienne. Elle devait tuer le loup s'il attaquait. Le laisser tranquille s'il s'absentait de tout toucher sur son corps. La loi était la loi. L'acceptation avant la reddition. Elle ne devait rompre le fil de l'alliance imperméable à toutes les insultes, intouchable dû à sa violence glaciale qui pétrifie la chair des insolents qui le touchait, qui unissait les deux comparses pour l'éternité. Il en allait de l'honneur de son clan. Et tuer n'était plus un problème. Elle ne pleurait pas lorsqu'elle glissait ses mains sur ce mur si froid, elle ne meurtrissait pas la chair de ses lèvres de ses canines, elle ne délaissait pas sa fierté féroce, elle laissait le temps s'écouler, pour mieux contre-attaquer.

    Elle le sentit venir à elle. Il ne fit qu'un pas en bas de sa chaise. Mais cela fut suffisant. Et dans un mouvement fluide, presque mystique, elle lança son regard presque néantisé dans un fluide ou son âme ne sembla plus apparaître. Les parcelles de son esprit étaient concrétisées dans son odorat et son ouïs, étoffés avec la plus grande exactitude. Elle avait dirigé non pas son regard, mais plutôt ses deux autres sens précisément dans sa direction. La vue ne lui serait pas d'une grande utilité, elle savait exactement en quoi était consisté cet homme. Mais la question était pourquoi. Et son odorat lui permettrait de connaître chacun de ses actes avec minutie. À la moindre insolence du loup désireux d'approfondir leur relation sur des termes moins chastes, elle l'étriperait.

    Elle laissa glisser son corps contre le mur, et fut lentement sur le sol, assise, les jambes laissés à l'abandon devant elle. Ses yeux vides, mais son odorat fin, tiraillaient l'homme de toutes parts. Totalement attentive était la louve. Et aussi calme elle restait. À la moindre petit écartement de ses bonnes manières, qu'elles soient dans son approche ou odorantes, elle grognerait, montrerait les crocs. Et si ce n'était suffisant, elle détruirait tout ce qui se trouvait dans cet espace, pourfendant à l'aide de sa tornade si particulière, chacun des meubles de l'espace, chacun des muscles et tendons, et os de l'homme, et anéantirait chacune de ses parcelles énergétiques, son chakra se réduisant jusqu'à ce qu'il ne soit plus que néant.

    Elle attendait. Doucement. Tendrement. Pour mieux écarteler les chairs de l'insolent loup, désireux de la prendre comme une stupide chienne dont la seule utilité est de faire plaisir exécrable pour le compte d'un mâle sans honneur. Apathie peut-être était-ce ? Perfide était-il ? L'apogée du désir atteindrait-il son envol, si il ne pouvait l'obtenir que par le combat, ou laisserait-il la louve partir, échappée des bras démoniaques de l'affliction de son insatiable masculinité ? Était-il loup irascible capable de la prendre de la plus rude des manières ? Et si c'était le cas, la redondance de ses cris de souffrance pure seraient-ils suffisamment puissants et mélancoliques pour la laisser s'enfuir à la toute fin, ou aimerait-il mieux la tuer pour mieux déguster sa victoire sur la femelle déshonorée et dont le pelage serait souillé ?

    Douce souffrance, douce amertume. Perte de sens. Il ne serait plus qu'à prier à la femme devenue bête, et dont le seul espoir résonnait peut-être dans le cœur de l'homme. Même si son esprit était confus avec la montée d'adrénaline, elle restait aussi fidèle que possible à ses principes et ne s'abaisserait pas à commettre l'irréparable.

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MessageSujet: Re: «| Shiin' et l'hopital...   «| Shiin' et l'hopital... EmptyVen 15 Avr - 14:22

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    «| La tasse porter a ma bouche, ma respiration neutre et mon souffle s'échappent d'entre mes lèvres pour venir refroidir le liquide chaud de manière contente, je réfléchissais, en oubliant presque mon 'invitée'. Je pris alors une longue inspiration en fermant mes yeux, je m'abreuvais de la douce odeur vanille que dégageait le liquide chaud dans ma tasse. J'aimais la douceur de la nature, les arômes délicat, les fleurs, les plantes... J'aimais en faire du thé, du thé que je confectionnais moi-même lors de mes ennuis ou autre moments perdu. Le thé vanille qui emplissait mon récipient était de ma conception et je voulais le partager avec elle. Je lui avais montrer une image sans aucun doute désagréable, voir monstrueuse de moi. La menaçant, la provoquant, la narguant, puis la rabaissant et cela en lui faisant croire que j'avais tuer ses chiens sans jamais faiblir devant la belle. Un fin sourire, sourire qu'elle ne pu voir dans le cas ou elle me regardait, apparue alors en coin de mes lèvres.
    Le liquide alors s'insinua entre mes lèvres, pénétrant ma bouche pour la remplir de son arôme fruitier, sucré. J'imaginais qu'elle avait le même gout et j'étais certain de pouvoir un jour la gouté. Aujourd'hui? Sans doute pas, mais qui sait? Peut-être s'offrirait-elle d'elle même à moi, s'offrant corps & âmes aux plaisirs de la chair. Mes yeux s'ouvrirent, mais ne se portèrent toujours pas sur elle. Je la sentais, plaquer contre un mur. La pauvre, il n'y avait aucun confort. La mur froid, dur. Elle était silencieuse, calme et pourtant si agiter. Son combat était intérieure. Le combat contre la peur. J'étais assis, et j'observais le liquide sombre tout en écoutant son corps. Vue, odorat, touché, ouïe. Mes sens étaient aux aguets, mais tous diriger de manière séparer. L'observais le liquide odorant que je ne me lassais pas de sentir. Je touchais de ma langue la saveur encore présente dans ma bouche, profitant des délicats effluve sucré qui étaient rester. Je l'écoutais me craindre.

    «| Je déposa alors la tasse sur la table de boit. Un boit sans prétention, d'une qualité médiocre, sans réel valeur autre que la valeur même de la nature. Ma tête se tourna légèrement vers elle, laissant filtrer un halo de lumière sur le coter droit de mon visage. Laissant mon œil bleu océan, infinie, visible à la jeune femme présente dans mon antre. « Ne me craint pas, je ne te toucherais pas sans que tu ne le veille toi même. » Ma voie avait résonner, c'était montrer puissant, sans agressivité et rassurante. Presque chaude, chose qui était rare venant de moi. Une seconde tasse apparue alors sur la table. D'un geste précis, la tasse fut remplie et lassa filer chaleur et arôme qu'elle sentirait à coup sur. L'endroit était isoler et il y avait peur d'odeur. C'était pour cela que j'aimais cette endroit. Les sens étaient exacerber. La pénombre offrait un regard sur le monde différent, plus beau, plus précis. Le silence de l'endroit faisait que chacun des bruits étaient plus agréable, plus profond. L'isolation de la pièce faisait que les odeurs et autres arômes étaient plus savoureuse. « Viens t'assoir, je t'es servis du thé. » Je l'observais de la ou j'étais. Elle était belle, mais elle avait perdu quelques choses. Comme-ci en elle, j'avais brisé ce qui lui offrait le plus de charme. La bestialité, son esprit sauvage, guidé vers l'évasion.

    «| Lorsque je l'avais vue me défier plus tôt, relever la tête haute mes paroles, sans frémir face à ma force. Je l'avais désirer. Je l'avais voulu. La, je la voyais soumise, attendant que je ne l'achève, ou que je ne la laisse partir. Elle n'avait plus rien d'une battante. Elle n'avait plus rien de ce que j'avais découvert et apprécier. Dire qu'elle n'était plus désirable serait mentir, mais elle avait perdu en intérêt. Je voulais la battante, la combattante... Je voulais qu'elle me désire, mais qu'elle me résiste. Qu'elle me chasse et qu'elle m'échappe. « Dépêche toi, ensuite je te ramènerais à l'hôpital, j'ai besoin de repos, cette petite course ma fatigué. Quand aux chiens, ils sont déjà la bas et en pleine santé. » Je reporta alors ma tasse à ma bouche. Les yeux de nouveau clos, profitant de nouveau de cette liqueur vanille. J'étais sur qu'elle aimerait. Le liquide sauvage, boisé... Un liquide qui me ressemblait. Doux et fort. Grisant...

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MessageSujet: Re: «| Shiin' et l'hopital...   «| Shiin' et l'hopital... EmptyDim 17 Avr - 0:20


    Les premières paroles résonnèrent dans son esprit telle une mélopée sourde à ses sentiments. Elles ne l'atteignirent pas. Elles furent prononcées chaleureuses et puissantes pour son esprit obscurci par la peur. Ses yeux néantisées par la montée de ses autres sens ne bougèrent pas d'un millimètre vers l'homme. Elle voyait son sourire, diffuse appréhension des actes à venir. Elle ne savait pas quoi faire, sauf attendre que ça se passe, avec la crainte dans le cœur. Le mouvement qu'elle avait perçut dans les nébuleuses sombres, fit propagé aux alentours une délicatesse olfactive. Son sens affûté fut chavirée dans la finesse du mélange. Boisé, et à la fois enivrant. Mélange très perceptible perdait dans la grande salle inaccessible pour qui que ce soit d'autre. Pourtant elle n'esquissa aucun mouvement. Il releva la tête. Elle fixait l'homme dans le néant, attendant qu'il s'approche. Il sourit. Elle voyait son océan, ses petits yeux doux et craints, même si il ne lui adressait que peu de regards. Son odeur ne changea en aucun instant. Le musque de son corps, désirable, effrayant, était un délice olfactif, se mélangeant à la douceur de la vanille.

    « - Viens t'asseoir, je t'ai servi du thé.

    Elle ne bougea pas. Il poursuivit :

    - Dépêche toi, ensuite je te ramènerais à l'hôpital, j'ai besoin de repos, cette petite course m'a fatigué. Quand aux chiens, ils sont déjà là-bas et en pleine santé. »

    Quelques minutes passèrent. Elle attendait un signe sensoriel pour qu'elle puisse diagnostiquer avec la infinie prudence ses intentions. Mais rien ne vint. Il semblait honnête. Elle appuya ses doigts sur le mur, glissant son corps sur cette paroi glisse et froide, prenant appuie sur celle-ci pour se relever. Sa vue se clarifia, tandis que les battements de son cœur se faisaient moins insistants. Elle se calmait intérieurement. Toujours appuyée contre le mur, elle fixa les yeux indéchiffrables de l'homme, bercée par la douceur de son thé.

    Puis, elle avança d'un pas. Puis après s'être assurée qu'il ne changerait pas brusquement, elle avança d'un autre, puis d'un autre. Et elle soupira doucement, ayant retrouvé toute sa contenance. Elle prit la chaise libre et s'assit, du côté opposé de l'homme. Encore un peu craintive, elle croisa les bras, fixant de côté le jeune homme. Il souriait. Ses yeux clos, il buvait le liquide fumant.

    Après quelques instants, songeuse, elle se décida à boire. Levant la tasse au dessus de sa lèvre inférieure, elle goûta. Doux, sauvage. Elle n'avait jamais goûté cette sorte. Infusé de vanille, mais aussi de plantes forestières. Un délice original et enivrant. Elle déglutit après avoir bu une gorgée. Elle ne voyait pas le regard du jeune homme. Mais elle ne savait pas comment réagir. La peur laissait place au doute. Elle avait été sure pendant quelques minutes qu'il allait la prendre sans qu'elle ne l'eut accepté. Mais cela ne fut pas le cas. Alors comment devait-elle se conduire ? Elle n'en avait aucune idée. Elle laissait le silence planer, attendant les réactions de Shiin'. L'admirant de son regard pénétrant, mais sans oser dire quoi que ce soit. Elle n'avait plus rien à lui dire. Elle finit de boire le liquide. Puis, elle déglutit une dernière fois, et fixa le jeune homme de son regard animal. Elle attendait ses prochains mots, sa dernière consigne.

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MessageSujet: Re: «| Shiin' et l'hopital...   «| Shiin' et l'hopital... EmptyMar 19 Avr - 2:16

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    «| Elle était assise. Hésitante. Mais ou était passé la tigresse? L'animal sauvage, griffant et mordant les bras que l'ont lui tend. Si je faisais le moindre mouvement brusque, elle se renfermerait sur elle même, enfonçant sa tête entre ses épaules, tremblant de peur. Étais-je un monstre? Je ne le pense pas. J'étais même plutôt sociable, je lui proposais du thé, je tentais de la rassurer, je me montrais doux et avenant... Elle restait apeurer, pire, distante... « Tu me désire. » Une phrase totalement inconvenante au vue de la situation dans laquelle nous nous trouvions. Dans l'état ou elle se trouvait. Mais c'était pourtant réel. Une vérité que je n'avais pas peur de dire. « Que tu l'accepte ou pas, au fond tu sais que j'ai raison. Tu me désire peut-être plus que je ne te désire moi-même. » Et je la désirais hardement. J'imaginais son corps nue sous le mien. Ses courbes généreuses et affriolante tendu sous mes mains. Je voyais ma langue glisser sur sa peau...

    «| Je l'observais avec insistance, espérant qu'elle cesse de fuir mon visage. Qu'elle m'affronte. Qu'elle relève le défi. Ce qu'elle ne fit pas. Je repris alors, avec une douceur presque aussi douce que celle du thé boisé. « Si tu me veux, il va falloir te battre. je suis un homme convoité, je ne m'offre pas au lâche. » Je voulais la faire tiqué. Qu'elle réagisse à mes mots, qu'elle retrouve cette envie de combattre.

    «| J'aimais les gens qui repousse leurs limites, qui vont à chaque fois plus loin, qui fracasse les obstacle au lieu de les contourner. Il faut savoir prendre le taureau par les cornes pour le retourner. « Quoi qu'il en soit, nous avons assez trainer et ta cousine doit s'inquiéter pour toi. Partons. » L'obscurité de l'endroit. De mon fief. Mon lieu de tranquillité, la ou je me relaxais, ou toutes pressions disparaissaient d'une vie charger de douleur. Tout disparue le temps d'une fraction de seconde. Un temps trop court pour que la Inuzuka ne se rende compte de quoi que ce soit.

    «| Tout fut illuminer. Blanc satiné. Comme-ci les murs étaient peint de lumière. Nous étions revenue la ou tout avait commencer. L'hôpital. La chambre ou j'avais passé quelques jours. Ou elle c'était occuper de moi. J'étais debout, elle l'était aussi. Elle semblait plus sur d'elle en ce lieu plus familier. Les chiens et Hana étaient présent dans la pièce. Je vie le visage inquiet et sérieux de Hana devenir sourire, puis redevenir sérieux en l'espace d'une demi minutes à peine. La nuit n'était pas encore tomber, d'ailleurs, elle était encore loin de tomber, nous étions partie à peine une heure, peut-être deux, même moi, je pouvais perdre la nation du temps...

    «| « Vous revoilà! » Je senti l'intensité d'une mère dans sa voie. « Shiiin' tu es inconscient, tu aurais pu te re blesser grièvement a faire la course en plein milieu du village et toi Aya! Le suivre dans sa bêtise, je te pensais moins stup... » D'un geste de main je la fis taire. « C'est de ma faute Hana, puis l'important c'est que nous soyons la tout les deux et cela sans qu'il y est de dégât, alors soit conciliante avec l'insolence de la jeunesse. » Son visage fut alors plus doux. « Bien mesdames, Hana, Aya, ce fut un plaisir, mais tout cela ma épuisé, je vous invite à quitter ma chambre maintenant. » Plus qu'une invitation à les faire sortir, c'était une exigence.

    «| Lorsque je fus seul, je ne pris pas la peine de me dévêtir, j'ouvris la fenêtre, observant l'extérieure. De ma chambre je pouvais voir la tour du Hokage ainsi que les visage de nos héros. Je décida finalement de joindre mon lit, prenant place dessus sans entrer sous le drap. Les yeux ouvert, j'observais le plafond, concentrer sur les chakra extérieures...

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MessageSujet: Re: «| Shiin' et l'hopital...   «| Shiin' et l'hopital... EmptyMer 20 Avr - 1:05


    « - Tu me désire, continua Shiin' d'une voix douce pour ne pas l'effrayer, que tu l'accepte ou pas, au fond, tu sais que j'ai raison. Tu me désire peut-être plus que je ne te désire moi-même.

    Elle ne répondit pas. Elle évita son regard, son doux visage aux yeux océan, et ne leva pas une seule de ses paroles. Elle le désirait, mais n'avait aucune de s'offrir. Son envie de s'abreuver de ce corps offert librement, sans restriction était immense. Profiter des moindres chairs propice à son désir primitif et d'y planter ses crocs serait pour un elle un apaisement. Mais elle ne pouvait pas. Elle ne devait pas. Sa soif de lui était un supplice, et il montait toujours un peu plus ce gouffre dans lequel elle s'était plongée. Elle souffrait. Sa libido était à son paroxysme. Il l'avait cherché, fait coursé dans les méandres de la forêt, et monter sa rage, tout comme son désir de lui. En cet instant, il n'avait que lui. Tout son être faisait hurler l'animal démentiel enfermé dans les cages nébuleuses de son être. Son tempérament qui l'agressait, qui la foudroyait tel un éclair, grisant chacune de ses pensées, ou même ses yeux si purs et ce corps longiligne, tout de lui appelait à l'union. Lorsqu'il était enfant, elle l'avait aimé pour ce tempérament franc et téméraire, digne du loup alpha de la meute que rien ne brusque de ses convictions.

    C'était le loup blanc, comme elle l'avait nommé. Il y a de cela des années, lorsqu'elle parlait de cet événement qui l'avait tant marqué et pendant lequel elle l'avait rencontré, à ces quelques confidents, elle utilisait ce sobriquet. N'ayant su son nom, ni son prénom, elle s'était inspirée de la pureté de ses yeux, mais aussi de l'innocence bafoué lisible dans ceux-ci pour bien le représenter. Mais c'était le passé. Pourtant, son tempérament sauvage n'avait pas changé. Il s'était amplifié. Il s'était mué dans cet être dont chacun des mouvements était une invitation au plaisir charnel, aux morsures et autres actes sexuels. Passer une nuit dans le même lit et vivre l'union avec cet être si désirable était un avenue plaisante. Mais elle ne pouvait pas. Elle n'avait pas la certitude qu'il lui soit fidèle. Ce serait une disgrâce pour son clan qu'elle s'approprie un bâtard incapable de rester loyal envers sa femme. Elle n'avait jamais trouver un compagnon qui puisse lui être désirable, et en même temps intéressé par elle. Au fil du temps, les hommes s'étaient approché d'elle pour obtenir son corps, mais jamais son âme, ce qui la chagrinait. Et le clan, voulant la protéger, faisait tout en sorte pour ne pas qu'elle tombe dans leurs griffes. Elle subissait en quelque sorte une abstinence forcé. Puis, l'union en tant que tel lui était insupportable, au vue des conséquences néfastes que cela pouvait avoir.

    - Si tu me veux, il va falloir te battre. Je suis un homme convoité, je ne m'offre pas aux lâches. Quoi qu'il en soit, nous avons assez traîné et ta cousine doit s'inquiéter pour toi. Partons.

    Elle plongea son regard dans celui nébuleux de l'homme, de ses yeux clairs limpides telle une rivière. Impassible. Elle ne pouvait pas. Elle ne devait pas.

    Puis ils disparurent pour réapparaître à l'hôpital, ou tout avait commencé. Ou la tragédie avait débuté en cette journée ensoleillée. Hana et les chiens étaient dans pièce, les fixant étonnés mais aussi stupéfaits. Pourtant la joie brillait dans leurs yeux de les revoir, malgré que la vétérinaire semblait horrifiée des risques pris par Aya et Shiin' :

    - Vous revoilà! Shiin' tu es inconscient, tu aurais pu te reblesser grièvement a faire la course en plein milieu du village et toi Aya! Le suivre dans sa bêtise, je te pensais moins stup...

    - C'est de ma faute Hana, , répondit l'homme, puis, l'important, c'est que nous soyons là tous les deux et cela sans qu'il y ait de dégât, alors sois conciliante avec l'insolence de la jeunesse. Bien, mesdames, Hana, Aya, ce fut un plaisir, mais tout cela ma épuisé, je vous invite à quitter ma chambre maintenant.


    Hana acquiesça et s'éloigna vers la porte. Dès qu'elle l'ouvrit, les chiens surexcités de revenir à l'extérieur, sortirent en trombe de la pièce et avec leur vivacité canine, s'éloignèrent silencieusement dans le couloir en se mordillant joyeusement. Pourtant, Aya n'esquissa pas un seul geste. Hana étonnée lança :

    - Aya, est-ce que tu viens ?

    - Je viens, » souffla la jeune femme en lâchant sa contemplation de l'homme et en se retournant vers la porte et en passant l'encadrement.

    Elle ne put s'empêcher de lancer un dernier regard vers l'homme, avant que ne se referme sur elle la porte et que disparaisse de sa vue les yeux bleu océan.

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